Je m'étais levée tôt, mais mon heure d'arrivée au lycée était prévue pour seulement, 15 heures 30. Il fallait donc qu eje trouve choses à faire le temps que les heures défilent. Je vérifia ma valise un peu près 7 fois pour voir si j'avais oublier quelques choses ou non. Ma feuille d'inventaire à la main. Ma mère était anxieuse, elle ne voulait plus me laisser partir de la maison. Mais après tout, c'est à moi de choisir si je veux rester ou partir, non? Ma mère était rester derrière moi toute la journée, mon père lui, était l'esprit tranquille. Il pensait que ce pensionnat m'aidera a m'ouvrir et a m'épanouir. Ils ne savaient pas trop ce que signifiait la filière que j'avais prise. Oui, je leurs avaient dit que c'était une filière plutôt qu'un "clan". Si j'aurais préciser, ils ne m'aurais pas laisser partir et prendre mon aise. J'en étais sure et certaine! Ils s'en voulaient tellement de m'avoir laisser dans l'ignorance et avait peur qu'on se fiche encore de moi, comme mon ancienne "amie"! Cela me faisais rappeller un souvenir, lointain que j'avais complètement oublier.
Flash Back :
J'avais seulement 6 ans, j'étais minuscule pour mon âge. Mes parents me faisait porter des vêtements très enfantin, tout en restant féminin. J'avais toujours les chaussures assorties à la robe et aux accessoires. Mes cheveux étaient court, en carré. Ils me trouvaient plus jolie avec les cheveux courts mais moi, je préfèrais garder mes cheveux longs, ils cachent mon visage et cela me rassure. Je courais vers ma mère, avec un chat blesser que j'avais trouver dans la rue.
-Maman!! Papa!! Regardez, j'ai trouver ce chat, il s'est fait écraser la patte, ils font qu'on l'aide!
J'avais les larmes aux yeux, ce chat a été le premier a ouvrir mon coeur. Après mûre réflection. Ils acceptèrent de le prendre en charge, ce que j'apprécia sur le moment. Au fil du temps, j'avais tisser des liens avec ce chat et je devint allergique a ces poils. Mes parents s'en rendit compte.
-Qu'allons nous faire Moka? Nous ne pouvons le garder, il gêne notre fille a respirer correctement.
-*soupire* Oui, nous devrions lui trouver un autre toit avant que cela n'empire et que nous devons l'emmener aux urgences. !!
Mon père acquisa de la tête et dés le lendemain, mon chat avait trouver une nouvelle maison. J'ai du me séparer de lui. Quand j'avais faite une crise a mes parents pour pouvoir le garder. Ils m'avaient engueler en disant que le plus important était dabord ma santé et ensuite un chat de rue... Je n'avais pas aimer leurs mots, ils les avaient mal choisit. Ce chat n'était plus un chat de rue mais un chat apprivoiser. Gentil, généreux et d'une grande aide dans ma solitude. Je me souvien, que j'avais arrêter ma crise et décida de jouer a fond, le jeu de la fille parfaite. Mon coeur était meurtrie et la solitude me gagna au fil des années. Je me souvien avoir pleurer toute une semaine de l'absence de mon chat... Aujourd'hui, je ne suis plus allergique et j'aimerais en reprendre un, pour le moment cela reste impossible. Alors je patiente!
Fin du Flash Back.
Je soupira et décida de ne plus jamais repenser a cette histoire! Je ferma ma valise, légèrement énerver par ce souvenir. Prit mon lecteur de musique, ma valise ansi que ma veste et descenda les escaliers pour atteindre le salon. Une fois arriver dans la pièce, je dit au revoir à mon père et ma mère sur le seuil, en mettant mes chaussures. Ma vesta était sur une épaule, mes écouteurs dans les oreilles et ma valise à la main. Je parti donc dans la direction du train et le prit. J'ai dû faire deux heures de trajets pour pouvoir atteindre la ville dans laquelle se situait le pensionnat. J'arriva devant un imense portail après quelques minutes de marche. Je vit deux silhouettes, l'une plus grande que l'autres. Venait on m'acceuillir ou étaient-ils ignorant de mon arriver? Je me tu et décida donc d'attendre, valise au sol que ces personnes viennent m'indiquer le chemin ou alors, avec un peu de chance, viendrait ils vraiment pour m'acceuillir.
